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Revivez les temps forts de #LaREF21 - mercredi 25 août

A l’air libre ! Pour une grande respiration et une promesse d’avenir alors que nos libertés, crise sanitaire oblige, ont été rognées, écornées, rythmées par des attestations et des injonctions. Où en sont nos libertés ? Liberté de mouvement, de penser, de commercer, de créer, etc. Nous ouvrons les débats, en grand, avec celles et ceux qui font l’actualité. A l’air libre encore pour s’aérer et écouter aussi celles et ceux qui inventent, disruptent, font avancer le monde.

(Re)vivez le direct de #LaREF21 du mercredi 25 août

14h00 : Séquence d'ouverture
Geoffroy Roux de Bézieux ouvre la Rencontre des entrepreneurs de France 2021 (#LaREF21).
>> Télécharger le discours d'ouverture de Geoffroy Roux de Bézieux au format PDF

14h45 : Keynote spéciale
Bruno Le Maire entre en scène pour une conversation avec Bertille Bayart.
- "Un immense merci à tous les salariés de France, qui ont fait preuve de responsabilité lors de cette crise sanitaire, et un immense merci à tous les entrepreneurs."
- "Nous continuerons à aider les secteurs en difficulté (...) mais que l'économie soit libre, qu'elle crée des emplois er de la richesse sans le soutien de l'Etat."
- "Si nous voulons inciter les Français à retourner au travail, nous devons mener à bien la réforme de l'assurance chômage."
- "Le gouvernement à fait du bon travail, mais il reste encore plus de travail à faire si nous voulons que la France reste parmi les grandes nations de la planète."
- "Nous allons regarder comment améliorer les prêts participatifs pour qu'ils soient plus efficaces."
- "On n'est jamais trop ambitieux pour la France. (...) La France n'est pas n'importe quelle nation et elle ne le sera jamais."
- "Au cours de ces trente dernières années, il y a eu une capitulation industrielle française. Notre objectif est d'éviter que la France n'ait que quatre filières industrielles, il est temps de créer de nouvelles filières : le nouveau nucléaire, l'intelligence artificielle, le calcul quantique, les biotechnologies..."
- "C'est le moment d'investir, nous n'avons pas le choix, car nous ne sommes pas seuls."
- "Oui, il faudra, le moment venu, rembourser notre dette."
- "Je ne vais pas demander aux sidérurgistes français de décarboner leurs usines, si c'est pour réimporter de l'acier chinois qui pollue 5 fois plus."
- "La taxation du digital, c'est un très, très long voyage, c'est une odyssée."
- "Je voudrais que la politique revienne à la sérénité, donc à la réalité."
- "Rassemblons les gens au lieu de les opposer... le grand défi français, c'est qu'il y ait moins de déchirure entre les Français, plus de rassemblement."

15h15 : Table-ronde "L’éthique du business : les entreprises responsables, concilier balance commerciale et droits de l’Homme"
Avec la participation d'Agnès Callamard, Cyril Chabanier, Patrick Pouyanné, Eva Sadoun, Hubert Védrine et animé par Martial You.
- Cyril Chabanier : "Je ne pense pas qu'il y ait moins de liberté aujourd'hui qu'hier, mais nous sommes dans un monde avec plus de responsabilités."
- Agnès Callamard : "Les libertés à travers le monde ont subi des diminutions dans y tous les pays, y compris les pays démocratiques."
- Patrick Pouyanné : "Dans le monde occidental aujourd'hui, j'ai l'impression que je ne peux plus dire ce que je pense. Nous avons perdu nos capacités de penser et d'expression."
- Eva Sadoun : "Les libertés aujourd'hui sont seulement l'apanage de quelques uns... Comment parler de liberté face aux violences faites aux femmes par exemple ?"
- Hubert Védrine : "Ce que nous voyons s'effondrer, ce sont des illusions occidentales."
- Patrick Pouyanné : "Oui, le changement climatique est un défi et le marché de l'énergie va bouger. Le choix que nous faisons est celui de rendre notre entreprise durable."
- Patrick Pouyanné : "En 2030, les produits pétroliers ne représenteront plus que 30 % des ventes de Total."
- Patrick Pouyanné : "Toute la difficulté est de trouver le bon chemin et le bon rythme."
- Hubert Védrine : "Il faut remettre un peu de géopolitique dans nos débats."
- Hubert Védrine : "Je distingue l'écologisation et la volonté des occidentaux pour moraliser le reste du monde."
- Agnès Callamard : "Le réchauffement climatique est une catastrophe planétaire, qui touche principalement les plus défavorisés. Je salue bien sûr les engagements des entreprises, mais la crise est telle qu'il faut aller au-delà de ces engagements."
- Cyril Chabanier : "Les salariés ont un rôle central dans la transition écologique."
- Cyril Chabanier : " A la fois on s'engage pleinement dans la transition écologique et la transition numérique, mais les salariés nous demandent de défendre leur travail d'aujourd'hui, et parfois on est tiraillé entre les deux."
- Eva Sadoun : "Je suis persuadée que les salariés sont les garants du temps long de l'entreprise. Aujourd'hui, s'il y a des réfractaires, c'est parce que le discours sur la transition écologique va avec des destructions d'emplois. C'est un mauvais discours."
- Hubert Védrine : "Il n'y a pas un monde global et homogène, les puissances émergentes bouleversent la donne. il faut à chaque fois se demander de qui parle-t-on... C'est cynique de faire croire à des populations en danger qu'on va pouvoir les protéger ad vitam aeternam."
- Agnès Callamard : "Le retrait de Total de la Birmanie aujourd'hui aurait des impacts négatifs sur le populations locales. il ne faut pas raisonner en blanc et noir. Ce que nous demandons aux entreprises, c'est de respecter les obligations qu'elles sont en mesure de respecter."
- Hubert Védrine : "Les raisonnements globaux ne fonctionnent pas ! Si on veut que les entreprises fassent le mieux possible, il faut accepter que les nations occidentales ne sont plus seules sur la scène mondiales."
- Patrick Pouyanné : "Comment peut-on traiter un sujet global, alors que le monde se fracture et que chacun fait preuve d'égoïsme ?"
- Cyril Chabanier : "Il y a toujours le risque d'aller vers le moins-disant social. (...) Tout le monde n'avance hélas pas au même rythme."

16h10 : Keynote spéciale
Eric Dupond-Moretti entre en scène pour une conversation avec Christophe Jakubyszyn.
- "Entreprendre, c'est respecter des règles de droit."
- "Notre préoccupation avec Bruno Le Maire, c'est la sortie de crise, et nous avons pris des mesures pour que les petites entreprises ne franchissent pas la porte du tribunal de commerce."
- "Notre préoccupation, c'est de sauver le maximum d'entreprises."
- "J'ai quelque chose à demander aux patrons... Je souhaite que les gens qui sortent de prison soient réinsérés et réinsérables, et pour cela, il faut faire venir le travail dans les prisons."
- "Nous avons mis en place tout un système pour permettre aux patrons d'apporter du travail en prison, ce système est consultable sur le site travail-prison.fr."
- "Prenons l'exemple du pass sanitaire : il y a trois formes de contestation, les gens qui ont peur, il y a ensuite ceux qui instrumentalisent cette crise et puis il y a les incontrôlables, les complotistes etc. qui vont jusqu'à dire que nous sommes en dictature, ce qui est affligeant à l'heure où une vraie dictature s'installe en Afghanistan !"
- "Nous vivons une époque singulière, où l'opinion à pris la place de la pensée."

16h30 : Table-ronde "La liberté en toute sécurité"
Avec la participation de Thierry Derez, Jérôme Gavaudan, Linda Kebbab, David Lisnard, Maddy Scheurer et animé par Christophe Jakubyszyn.
- Jérôme Gavaudan : "Nous sommes depuis 200 ans dans un régime de liberté, ce qui se traduit par des faits concrets, liberté d'entreprendre, liberté d'aller et venir, liberté du travail etc. Si l'Etat multiplie les exceptions, on peut basculer dans un régime d'exception. Depuis une dizaine d'années, de fait, notre régime de liberté s'amoindrit, car les exceptions se multiplient;"
- Jérôme Gavaudan : "Nous, les juristes, nous n'aimons pas la multiplication des lois dans l'émotion."
- Linda Kebbab : "Là où l'Etat n'existe pas, il n'y a pas de liberté ! Les lois d'exception, répondent elles-mêmes à des exceptions !"
- Linda Kebbab : "Le premier objectif de la loi est la préservation des vies humaines."
- Linda Kebbab : "La sécurité ne s'oppose pas à la liberté. La sécurité est même la première des libertés."
- Thierry Derez : "Que peut apporter l'assurance au couple liberté-sécurité ? Elle peut apporter deux choses, la confiance et une meilleure connaissance des aléas, rendant, partant de là, une réflexion plus éclairée de la part des citoyens."
- Thierry Derez : "On doit changer les mentalités... et c'est extrêmement lent."
- Thierry Derez : "La légitimité des chefs d'entreprise à effectuer des contrôles est très ténue."
- David Lisnard : "L'accumulation des changements de règles dans une mairie se traduit par des complications, qui nuisent à la prise de décision et à la productivité."
- David Lisnard : "Nous devons recentrer l'Etat sur ses fonctions régaliennes et arrêter cette surenchère de lois d'émotion."
- David Lisnard : "L'excès de normes détruit la liberté."
- David Lisnard : "Il y a l'usage et il y a l'abus; Cette surabondance de restrictions d'usage, parce qu'on est incapable de sanctionner les abus, génère servitude et injustice."
- Maddy Scheurer : "Nous avons recherché une posture qui nous permettra de mieux accompagner et rassurer les populations."
- Maddy Scheurer : "Nous voulons toujours nous placer en protecteur des populations et des libertés, tout en préservant la cohésion de la nation."
- Thierry Derez : "La data est l'enjeu fondamental."
- Jérôme Gavaudan : "On fait des lois, mais on ne sait pas qui contrôle."
- Maddy Scheurer : "L'enjeu cyber est très important et c'est un sujet sur lequel les forces de l'ordre travaillent."

17h25 : Table-ronde "Vivre libre ou mourir : est-on condamné à choisir son sacrifice ?"
Avec la participation d'Elisabeth Borne, Bertrand Burgalat, Anne Claude Crémieux, Jean-François Delfraissy, Olivier Ginon, Laurent Mignon et animé par Clément Lesort.
- Elisabeth Borne : "Nous voyons tous qu'à partir du moment où nous avons levé les contraintes sanitaires en juin dernier, notre pays est reparti vite et fort !"
- Elisabeth Borne : "Le quoi qu'il en coûte était la bonne stratégie. Cette dynamique nous avons envie de la préserver, avec le vaccin notamment."
- Elisabeth Borne : "Nous avons tous été sous le choc au moment du premier confinement. Aujourd'hui, nous avons d'autres armes avec le vaccin pour se protéger sans casser la dynamique économique."
- Elisabeth Borne : "Nous ferons preuve de souplesse pour la mise en place du passe sanitaire pour les salariés en contact avec le public, au 30 août prochain."
- Jean-François Delfraissy : "Nous devons avoir beaucoup de modestie sur la gestion de cette crise, car le virus nous a dominé et nous domine encore un peu. Toute grande crise sanitaire devient assez vite une crise sociétale, une crise politique et une crise économique."
- Jean-François Delfraissy : "La démocratie est quelque chose de fragile pour la gestion des crises. Elle doit trouver un juste équilibre entre libertés individuelles et responsabilité collective."
- Anne-Claude Crémieux : "Le mot imprévisible s'adapte bien à cette crise et pourtant, ce n'est pas la première crise. A la suite du Sras et de la grippe aviaire, nous avions fait un plan qui à aucun moment n'envisageait l'idée d'un confinement. La crise, c'est être confronté à une situation hors cadre et c'est l'aveuglement. Dans cette situation, on imagine qu'il est extrêmement difficile de trouver la solution la plus équilibrée pour préserver à la fois la santé et la vie sociale et économique."
- Bertrand Burgalat : "Les artistes et les producteurs de spectacles ont été très impactés et très aux avant-postes. Nous sommes toutefois une industrie comme les autres, qui crée de la richesse."
- Olivier Ginon : "Entre vivre et mourir, nous avions décidé de vivre. Notre groupe avait été préparé par la Chine, donc nous avons pu très vite mettre des règles en place."
- Laurent Mignon : "Les banquiers ont vraiment joué le jeu."
- Jean-François Delfraissy : "Nous avons eu une chance majeure d'avoir pu mettre rapidement en place ces vaccins. Ils ont une efficacité très grande pour nous protéger contre les formes sévères et graves, mais ils ont un effet limité sur l'infection. C'est cette différence que nous avons tous du mal à comprendre."
- Jean-François Delfraissy : "Oui, au niveau des vaccinations, nous sommes dans un modèle qui permet de réduire de façon très significative l'impact de la pandémie."
- Jean-François Delfraissy : "Le problème, c'est de savoir quelle solution nous allons trouver pour vacciner le reste du monde."
- Anne-Claude Crémieux : "C'est la première fois que l'on suit une épidémie à la trace, ce qui nous trouble beaucoup. Nous devons donc être très humbles vis à vis de cela. Mais nos dirigeants ont appris à gouverner dans l'incertitude."
- Anne-Claude Crémieux : "Nous devons être admiratifs de la façon dont les Français se sont adaptés à cette crise."
- Laurent Mignon : "La réactivité de tous les acteurs a été exemplaire."
- Laurent Mignon : "Cette crise est porteuse d'un énorme espoir, la capacité des organisations et des êtres humains à s'adapter à une crise dont nous n'avions aucune idée."
- Jean-François Delfraissy : "Attention à ne pas revenir à "Business as usual", nous devons rester tous main dans la main."
- Jean-François Delfraissy : "Il est très difficile de faire de la prévision pour la suite, mais je suis fondamentalement optimiste. Cette pandémie est toutefois très particulière et mon grand souci est de savoir comment on va gérer en 2022 un monde vacciné et un monde qui ne l'est pas et qui peut générer des variants qui résisteront peut-être aux vaccins."
- Elisabeth Borne : "Cette crise est pénible pour tout le monde. Mais globalement nous avons fait preuve d'une capacité de résilience que l'on n'imaginait pas. Cela doit nous donner confiance sur notre capacité collective en France à agir ensemble pour surmonter des crises."

18h20 : Face à face "Peut-on être libre et (ir)responsable ?"
André Bercoff et Mathias Wargon entrent en scène pour un face à face animé par Philippe Mabille.
- Mathias Wargon : "Etre chef d'un service d'urgences, c'est être responsable d'une équipe. C'est une responsabilité, car nous devons assurer la continuité de l'activité. Face à une pandémie, nous devons donc ne pas perdre notre sang froid et pouvoir nous adapter."
- Mathias Wargon : "Notre responsabilité est de dire oui, il faut se faire vacciner ! Or, nous faisons face à tout un tas de gens, qui eux ne prendront jamais la responsabilité de leur parole."
- Mathias Wargon : "A l'hôpital, on ne doit pas faire de politique sur du sanitaire."
- Mathias Wargon : "Un vaccin est un médicament. Or, un médicament qui n'a pas d'effet secondaire, c'est juste du sucre !"
- André Bercoff : "Le ressenti des gens, c'est très important."
- Mathias Wargon : "On n'est pas chez Harry Potter !"
- André Bercoff : "Les réseaux sociaux sont un miroir, avec le meilleur et le pire."
- Mathias Wargon : "Je dis depuis deux mois qu'il faut vacciner tout le monde."
- Mathias Wargon : "Les médecins sont en très grande partie d'accord, mais ils débattent sur des détails."
- André Bercoff : "Il y a une crise globale de confiance en la parole."
- Mathias Wargon : "Il faut réapprendre à tout le monde comment on fait la science."

18h55 : Table-ronde "Libre ou vert ?"
Avec la participation de Bernard Accoyer, Carole Delga, Pierre Hurmic, Lydie Lescarmontier, Catherine MacGregor, Patrick Martin, Barbara Pompili et animé par Marie Visot.
- Barbara Pompili : "La transition écologique ne doit pas se traduire par une opposition entre écologie et économie."
- Barbara Pompili : "Nous devons proposer un choix à nos entreprises et à nos concitoyens."
- Barbara Pompili : "La question que l'on doit se poser, c'est quelles sont les libertés que l'on va perdre si on ne fait rien."
- Barbara Pompili : "Nous devons proposer un choix à nos entreprises et à nos concitoyens."
- Barbara Pompili : "On n'arrivera jamais à lutter contre le changement climatique si on agit seul dans son coin."
- Lydie Lescarmontier : "Le rapport du Giec montre que le réchauffement climatique est beaucoup plus important qu'on ne le pensait. En 2018, nous avons dépassé un degré de réchauffement. Si nous dépassons les deux degrés, nous pouvons atteindre des points de non-retour."
- Lydie Lescarmontier : "130 millions de personnes vont se retrouver sous le seuil de pauvreté à cause du réchauffement climatique, si on ne fait rien. Mais il est encore temps de déplacer le curseur."
- Catherine MacGregor : "Pour moi, l'écologie est un moteur et non un frein. La transition énergétique doit faire face à trois défis : décarboner l'énergie,  s'assurer d'un approvisonnement à  cette énergie et en maîtriser les coûts, et enfin s'assurer de l'acceptabilité de cette transition."
- Carole Delga : "Il y a une vraie prise de conscience et les Français nous demandent de les accompagner, car pour pouvoir être libres, nous devons être verts, et pour être verts, il faut être libres."
- Bernard Accoyer : "Il faut des décisions urgentes et courageuses. Or, ce n'est pas la direction que la France a prise depuis quelques années."
- Bernard Accoyer : "Pour décarboner, il va falloir électrifier."
- Bernard Accoyer : "On a sous-estimé les besoins futurs en électricité."
- Pierre Hurmic : "Les politiques publiques sont liberticides par essence, pas seulement les politiques environnementales."
- Pierre Hurmic : "Aujourd'hui, nous n'avons plus le choix. Nous devons choisir la sobriété pour éviter demain l'austérité."
- Pierre Hurmic : "J'aimerais aussi que l'on décrète la fin du quoi qu'il en coûte pour la planète."
- Pierre Hurmic : "Il n'y a pas plus d'hurluberlus chez les écologistes qu'ailleurs."
- Patrick Martin : "Nos 190 000 adhérents ont une conscience aiguë des enjeux écologiques et de biodiversité."
- Patrick Martin : "Nous devons essayer d'avoir un débat apaisé, ce qui visiblement est assez  compliqué."
- Patrick Martin : "Nous avons un impératif de transparence et de cohérence."
- Carole Delga : "On voit que ce réchauffement climatique dégrade au fil des années notre qualité de vie. Il faut que tous ensemble nous cherchions des solutions."
- Carole Delga : "Les partenariats publics-privés sont indispensables pour mener à bien la transition énergétique et les régions sont prêtes à cela."
- Barbara Pompili : "L'acceptabilité, cela ne peut marcher que si nos concitoyens se sentent écoutés et peuvent participer."
- Barbara Pompili : "Ne passons pas notre temps à ne pas voir les potentialités économiques de la transition écologique."
- Barbara Pompili : "Je voudrais qu'on sorte de l'opposition idiote entre les pro et les anti nucléaire."
- Barbara Pompili : "Faisons en sorte de développer des filières qui nous permettront d'être autonomes sur le plan énergétique."
-  Bernard Accoyer : "Le nucléaire est un atout exceptionnel pour la France, ne l'oublions pas."
- Barbara Pompili : "Je ne supporte plus que l'on prenne des décisions sans avoir de débat."
- Patrick Martin : "Il nous faut dans tous ces débats poser tous les sujets. Si nous ne représentons que 0,9 % des émissions de gaz à effet de serre, c'est aussi parce que nous avons exporté notre industrie."

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